• Juste un soir


    Il fait nuit, la journee se termine.
    Il rentre seul dans le froid saisissant.
    Sa vie defile dans son esprit.
    Il ne peut l arreter.
    Il ne s imagine pas, il ne s imagine plus.
    La lune eclaire sa souhaite avide, elle est presque pleine se soir, elle est presque belle, mais a quoi bon.
    Il se sent las, si fatigue.
    Il pense, il essaye, il pense, il essayera peut etre de ne plus penser.
    Il tombe a terre, puis tend de se relever.

    Il rentre en vain chez lui,
    Personne, la maison est vide.
    Il se penche a la fenetre,
    La lune eclaire son visage,
    Elle est presque pleine, ce soir, elle est presque belle aussi.
    Il fait deux ou trois pas en arriere.
    S allonge.
    Il se sent lourd, si lourd.
    Sa tete tourne, son esprit est de plus en plus envahit.
    Cet homme se meme reveur,
    dont la vie n est construite que de vent, d irreel, d inexistant,
    Ne tient plus à grand chose maintenant
    Il se reveille trop brusquement sans doute.

    Il se leve, et la lune eclaire sa silouhete,
    Lui dictant son obscur chemin, en se lieu solitaire.
    Elle brille, elle est presque pleine se soir, elle brille, et elle est presque belle aussi.
    Cet homme toujours las, saisit quelque chose, dans un tiroir a cote de la fenetre.
    On ne sait trop quoi.
    Pense à sa vie qui defile, oui, il avait promis de ne plus y penser, mais il pense, elle defile de plus en plus vite, et il pense.
    Il pense qu il ne veut plus y penser, il pense qu il ne veut plus qu elle defile.
    Il a toujours l objet mysterieux dans sa main,
    qu'on aperçoit mal malgre la clarte de la lune, qui est presque pleine se soir, qui est presque belle aussi.

    Il sent l objet qui lui caresse la peau, le visage, les bras,
    Il se sent tellement bien, si leger, tellement mieux.
    Il pense encore, il pense a sa vie qui s obstine, il sent sa pensee s evadee peut a peut, il sent sa pensee qui ne pensera plus.
    Il l avait juree.
    Il ne sent que l objet et la chaleur qu il degage au contact de sa peau.
    Il ne pense plus!

    Et le lune eclaire sa silouhete allongee pesiblement, l objet a ses cotes et la chaleur provoquee s etendant a terre.
    Elle etait presque pleine se soir, la lune, elle etait presque belle aussi...

    By Ben in 2001

  • Commentaires

    1
    Mercredi 21 Décembre 2005 à 09:35
    coucou mon coeur
    ca va mon chéri?
    2
    Mercredi 21 Décembre 2005 à 09:40
    coucou puce
    Ca va plutot bien. Faut que j'aille reserver mon billet tout a l'heure. Ca me soule. et toi puce?
    3
    Mercredi 21 Décembre 2005 à 13:36
    Bon
    Je vais allé les prendre ses putain de billet.
    4
    xcema
    Lundi 26 Décembre 2005 à 14:28
    je me rappele...
    de ce texte, mais le temps a passé depuis...qu'est-ce que tu tires de tout cela mon ami? PS:essaies de ne pas faire de fautes...
    5
    neb
    Mercredi 28 Décembre 2005 à 15:19
    houps
    Mon amis je tire plein d'enseignements du passé. Les fautes je crois que c'est ma touche maintenant.
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